Le Conseil abandonne l'épingle parentale en Andalousie

Le Conseil abandonne l'épingle parentale en Andalousie Le Conseil abandonne l'épingle parentale en Andalousie

Au total, 32 entités LGTB+ en Andalousie rejettent l'épingle parentale à travers un manifeste

GAYLES.TV.- El vice-président du Conseil, Juan Marín, a déclaré ce mardi que le épingle parentale «Cela ne sera pas mis en œuvre" dans Andalucía. De même, il a lié la réaction «dramatisé"à son avis, Vox en la matière avec la visite dimanche dernier de Macarena Olona, porte-parole du Congrès.

Dans une interview à Canal Sur Radio, Marín a défendu que "c'est très clair" quoi dans Andalucía ne sera pas mis en œuvre épingle parentale. Il insiste sur le fait que «n'est dans aucun accord«. En ce sens, il a précisé que «oui, il y aura une transparence totale"aux parents"lorsqu'il s'agit de connaître les activités extrascolaires que vos enfants vont réaliser«. «C'est ce qui a été signé et ce qui sera réalisé«, a abondé Marin.

Au total, 32 entités LGBT+ de Andalucía Ils ont exprimé samedi dernier leur «rejet d'un illégal épingle parentale qui implique la violation des lois de l'État et de l'Andalousie, certaines approuvées à l'unanimité par le Parlement andalou«.

Rejet de l'épingle parentale

Le Conseil abandonne l'épingle parentale en AndalousiePour ces entités, il s’agit de «une grave violation de la législation espagnole" et une "transgression" de la Constitución l'espagnol, qui «consacre l'égalité comme la valeur la plus élevée de notre système juridique", établit"l’obligation des pouvoirs publics de promouvoir l’égalité", slogan "la dignité de la personne"il proclame"non-discrimination", et "établit que l'éducation aura pour objectif le plein épanouissement de la personnalité humaine dans le respect des principes démocratiques de coexistence et des droits et libertés fondamentaux.«.

En outre, ils dénoncent que cela viole le Droit de l'enfance et de l'adolescence qui s'établit dans votre Article 11.3 que "Les pouvoirs publics développeront des actions visant à sensibiliser, prévenir, détecter, signaler, assister, protéger toute forme de violence contre les enfants et les adolescents.«. C’est pour cette raison qu’ils préviennent que l’orientation sexuelle et l’identité de genre sont parmi les premières causes de harcèlement dans les centres éducatifs.

Ils soutiennent que "cAvec la mise en œuvre du « code PIN parental », le Gouvernement andalou vise à rendre facultative l’éducation des étudiants au respect des droits de l’homme et à la non-discrimination«, et ils concluent en affirmant que «La Junta de Andalucía ne peut pas transgresser les lois pour plaire au parti d'extrême droite Vox«.

Le Conseil abandonne l'épingle parentale en Andalousie

Fuentes: ElDiario.es, L'Espagnol

Image : ElDiario.es, L'Espagnol

↑↓Commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont marqués avec *