Higui Libre

higui Higui Libre

La lesbienne qui a tué son violeur est libérée de prison

GAYLES.TV.- « ¡Je suis libre! Je ne peux pas le croire! » Ce furent les premiers mots que E prononçava Analía De Jesús, Higui, après sa libération. Après presque huit mois de détention préventive, la femme lesbienne accusée d'avoir tué son violeur présumé Il est enfin libre.

HIGUI LIBRE GAYLES.TVhigui Elle était détenue depuis les premières heures du 17 octobre 2016, accusée du meurtre Cristian Rubén Esposito d'un coup de couteau. Selon sa version, Espósito et deux autres amis l'ont insultée en raison de son orientation sexuelle, l'ont frappée et jetée à terre avec l'intention de la violer. Ongle violation corrective"Je vais te faire sentir comme une femme, une lesbienne"L'un des agresseurs lui a dit en déchirant son pantalon. Quand Espósito s'est jeté sur elle, Higui l'a poignardé avec un couteau qu'il avait avec lui pour se défendre. L'agresseur présumé est mort presque instantanément et De Jesús a été emprisonné.

Après avoir été arrêté, le irrégularités. Sa famille n'a pu la voir que trois jours après son arrestation et l'affaire est restée en suspens pendant cinq mois jusqu'à leur intervention. Rachel Hermida, un avocat possédant une vaste expérience en la violence de genre. Hermida a dénoncé le abuser de qu'il a reçu du policier et le manque d'expertise psychologique. Il a découvert qu'il n'y avait pas rapport à coups que Higui a présenté au moment de son arrestation.

L'avocat a allégué légitime défense contre une violation corrective pour demander votre libérer, ce qui a été initialement refusé par un tribunal inférieur. Sans contester sa décision, la Cour d'appel du tribunal de San Martin lui a accordé ce lundi la libération extraordinaire. Peut-être que sa libération est liée à tous les pression populaire qui a été exercé dans ce cas. Higui était l'un des symboles de la mobilisation »Pas un de moins contre les violences sexistes» tenue le 3 juin à Buenos Aires. Lors de la marche, on pouvait lire des banderoles sur lesquelles on pouvait lire : «Liberté pour Higui. Attaquée par une lesbienne, emprisonnée pour s'être défendue«.

Dans la mesure où cette année les femmes 133 Des victimes de violence sexiste ont été assassinées en Argentine. Après sa libération, une autre campagne populaire a déjà commencé pour réclamer son acquittement lors du procès prévu 2018.

source: La Clinique, Le Pays, Monde TKM

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