HazteOir n'est pas d'usage public

HazteOir n'est pas d'usage public HazteOir n'est pas d'usage public

Le Tribunal National retire à HazteOir le statut d'association de «utilité publique »

GAYLES.TV.- L'échec de Cour nationale confirme la décision du MMinistère de l'Intérieur Se rétracter Faites-vous entendre la condition d’association de «utilité publique" car "a violé le devoir de promouvoir l’intérêt général«. Par un arrêt du 19 février, les juges de la Chambre Contentieuse-Administrative ont porté un coup sévère à Faites-vous entendre.

Le tribunal conclut que, avec la campagne publicitaire pour l'autobus Faites-vous entendre qui portait la devise "Les garçons ont des pénis. Les filles ont une vulve» n'a pas respecté le devoir de promotion de l'intérêt général, dans l'un de ses aspects, celui de tolérance, prévu par la loi qui réglemente le droit d'association et la déclaration d'utilité publique.

La sentence, présentation du magistrat Jésus García Paredes explique que l'exercice de ces activités est incompatible avec l'octroi d'aides et de subventions par les différentes administrations publiques à une association "qui identifie la promotion de l’intérêt général à celle de son idéologie». La Chambre rappelle la différence entre une association ordinaire et une association reconnue au titre de la LO 1/2002 «C’est justement ce « plus » de leur « participation » à des activités d’intérêt général» et donc la déclaration d’utilité publique entraîne une série d’avantages économiques.

Revers à HazteOir

Les magistrats ajoutent que le recourant a bénéficié de la reconnaissance d'utilité publique mais avec ses activités il s'éloigne de la promotion de l'intérêt général en le remplaçant "pour celui du promotion de votre intérêt particulier, perturber la promotion de la « tolérance » face au problème qui découle de l’identité de genre, c’est-à-dire de « l’orientation sexuelle » ».

El Gouvernement a cependant déjà fait valoir que le retrait de cet avantage ne signifie pas «remettre en question le droit de Faites-vous entendre exercer leur liberté idéologique et diffuser leurs idées en matière éducative". "Toutefois, quiconque exerce ces droits fondamentaux et libertés publiques est responsable des conséquences juridiques qui peuvent découler de la manière dont il le fait.", a expliqué le Affaires.

HazteOir n'est pas d'usage public

source: Le Pays, Public, Cadena Ser

Photographie: EFE, Europa Press

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